Ligue 1 : Les bonnes affaires de Lens et Metz

Ligue 1 : Les bonnes affaires de Lens et Metz

En raison d’une courte victoire contre Dijon (2-1), Lens pourrait rêver d’un Européen, comme Metz, un joueur niçois avec les mêmes points.

Une courte victoire 2-1 face à Dijon dimanche, lors de la 26e journée de Ligue 1, donne à Lens sa première victoire à domicile en 2021. Mieux encore, cela ressemble à une cinquième place, des conditions temporaires, et peut-être l’Europe. Bien qu’elle soit septième au départ, et avec 6 matchs invaincus toutes compétitions confondues, la Course attendait dès le 23 décembre pour assurer le succès de Bollaert-Delelis.

La protéine de Franck Haise était impopulaire et inférieure à la norme, mais cela suffisait à vaincre la Bourgogne de choix. Cette victoire ouvre les rumeurs européennes de Sang et Or (5e, 40 pts) et pousse DFCO à passer en Ligue 2 (20e, 15 pts).

L’entraîneur de Dijon, David Linarès, avait décidé d’organiser 8 joueurs défensifs afin de résister au maximum pour récupérer le premier point le 24 janvier. Correctement disciplinés, ils auraient ouvert la porte à Aboubakar Kamara (4e) si Jean-Louis Leca était sorti fort sur les pieds de l’ancien Amiénois. Lens insouciant, Lens s’élevant au cœur du premier acte. Gaël Kakuta (23 ans) et Cheick Doucouré (27 ans) ont secoué Anthony Racioppi mais n’en ont pas eu assez. Seko Fofana, a corrigé sa récupération après la mauvaise remontée du centre de Jonathan Clauss (1-0, 30e).

Mais l’incroyable expérience de Lesoise a permis aux Giants de le croire. Bruno Ecuele Manga a commencé par appeler Jean-Louis Leca (48e), et Glody Ngonda s’est rallié (1-1, 61) à l’aide du poteau. Les locaux ont pu compter sur l’afflux de Simon Banza (63e). Son premier ballon, de la tête, a fait trembler le filet de Racioppi (2-1, 64e) et a donné 3 points à ses coéquipiers. Dijon, mal payé, a même dû terminer 10e après un limogeage raisonnable de Kamara (74e). après un déménagement chez Jonathan Gradit.

Très bon cliché de Metz à Nice

Très bon cliché de Metz à Nice

Metz, vainqueur de Nice (2-1), a également bien fait dans la course européenne, car il a mis son adversaire dans une période de crise. En plus de faire du bruit, Metz passe un bon moment. Désormais sixième avec 38 points, beaucoup comme Marseille, Rennes et Montpellier, mais avec une belle différence de buts, les hommes de Frédéric Antonetti pourront finir leur temps avec gourmandise. A commencer par leur déplacement à Bordeaux, samedi prochain. L’OGC Nice, en revanche, poursuit son inévitable effondrement. Sans hésitation, les hommes du président Jean-Pierre Rivère ont été battus 13 fois en L1 cette année. Pire encore, en 2021, l’Aiglon a perdu sept matchs sur dix.

Dans 29 cas, il y a un manque total de confiance et beaucoup sont absents pour cause de blessure. Sept acteurs majeurs étaient absents face à Metz: Atal, Dante, Lotomba, Danilo, Lopes, Dolberg et Reine-Adélaïde. Du coup, cette équipe construite pour jouer en Europe n’a que six points de moins que la 18e place, qui s’apparente à une poule. Son prochain voyage, vendredi à Rennes, sera spécial. Bienvenue à Nîmes, le mercredi 3 mars, sera un entretien très coûteux.

Metz a basé sa victoire en première mi-temps parfaite contre l’équipe avec beaucoup de difficulté sans réponse. Rapidement, Kiki Kouyaté a ouvert le nom. En tant que premier centre professionnel, il a porté le canon central au brillant Farid Boulaya (1-0, 15). Après cet objectif, les Messines, les surintendants de la région, ont continué leur travail d’assujettissement. Après un nouveau changement d’aile Boulaya, Vagner travaille pour Matthieu Udol dont les efforts sont bien entamés par Walter Benitez (17e).

Le seul fusil niçois sous l’œil vigilant de Pierre Lees-Melou (25e) n’a rien changé. La sécurité, bien sûr, permet à son adversaire de le faire. Andy Pelmard a quitté le centre d’Udol, Jean-Clair Todibo et William Saliba ont laissé des points à Lamine Gueye (2-0, 38e). Après une période amère, les joueurs d’Adrian Ursea répondent toujours. Merci à Amine Gouiri, qui a pu jouer à la dernière minute après le dernier mauvais test de Covid-19. L’ancien Lyonnais a écopé d’un penalty après une faute de Fabien Centonze et l’a remplacé par une amende + ailier (2-1, 61). Après ce 9e but en L1 d’un jeune niçois, ce n’était plus rien. Et Metz méritait sa victoire.